Enfin le voila le chapitre 16 !!!!!!! Non vous ne rêvez pas vous allez enfin pouvoir le lire. Je sais que j'ai mis ma fiction de côté durant cet été mais avec les vacances je n'ai pas y travailler plus que ça. Mais je reviens avec ce chapitre et je retrouve mon rythme alors préparez vous pour avancer dans cette histoire !!!!! 

Chapitre 16

C’était le temps de pause pour la classe d’Orion, il avait une heure de libre car le professeur qu’il devait avoir était malade. Il avait demandé à Akemi et Ryo de le laisser seul sans leur donner de raison. Il s’était donc mis à l’écart de l’école. Il s’assit dans l’herbe et adopta la position du tailleur. Il ferma les yeux et essaya de se concentrer sur ce qui l’entouré. Il entendait le bruit du vent dans les arbres faisant bouger les feuilles dans un froissement, au loin il pouvait distinguer des voix d’enfants jouant. Mais il ne ressenti rien de particulier. Il continua ainsi durant 10 bonnes minutes sans changement. Il laissa tomber sa méditation et repartie rejoindre ses amis.

Ryo : Ah enfin t’es de retour. Alors tu as fait ce que tu voulais ?
Orion : J’ai plutôt l’impression d’avoir perdu mon temps surtout.
Akemi : Pas forcément. Tout ce que l’on fait à un impact à un moment ou à un autre ^^ C’est ce que mon frère me dit tout le temps quand j’ai l’impression que ce que j’ai fait n’a servi à rien.
Orion : S’il le dit alors.
Ryo : Bon on fait quoi maintenant ?
Akemi : Vu que les cours ne vont pas tarder à reprendre, on devrait peut être retourné en classe.
Orion : Ouais, allons-y alors.

Les trois enfants partirent en direction de la salle en attendant que le cours commence.
Pendant ce temps là dans un endroit sombre, un groupe d’individu murmurèrent.

Individu 1 : J’ai pu l’approcher de près.
Individu 2 : Qu’en penses-tu ?
Individu 1 : Elle n’a pas l’air de savoir ce qu’il se passe. Je peux essayer de l’approcher pour en savoir plus.
Individu 2 : D’accord, mais fait bien attention à toi. Ne va pas te faire démasquer.

Chez Satsuki sport, Ikki et Cordélia restait dans le silence. Cordélia ne comprenait pas ce que le geste de son patron signifiait.

Ikki : Pardon, ça m’a échappé.
Cordélia : Heu, c’était quoi ça ? Une déclaration ?
Ikki : Je pense bien. Mais oublies s’il te plait.
Cordélia : Comment tu veux que j’oublie ça ?
Ikki : Dit toi que le verre que tu voulais que l’on se boit soit remplacé par se baisé.
Cordélia : Ok.

Cordélia quitta la pièce dans le silence pour continuer sa journée. Les ventes marchaient bien. La plus part du temps, il s’agissait de client fortuné mais il arrivait parfois d’avoir affaire à des amateurs de voiture ayant économisé toute leur vie pour s’offrir leur rêve. La journée allait bientôt se terminait et le magasin allait fermer ses portes. Yosuke se dirigea vers Cordélia.

Yosuke : J’ai appris que tu allais ouvrir l’auberge ? Tu vas nous quitter ?
Cordélia : Ouais désolée mais financièrement je peux pas tout gérer à moi seule donc je dois gagner plus et Nel m’aidera un peu mais je cherche encore du personnel.
Yosuke : Ah ouais chaud, c’est vrai aussi que l’endroit où vous vivez est immense. Je vais essayer d’en parler à mon entourage voir si ça peut intéresser des personnes.
Cordélia : Merci, c’est gentil de ta part.
Yosuke : Au fait, ça te dit de boire un verre avec moi ce soir ?
Cordélia : Ouais pourquoi pas, laisse moi juste le temps de prévenir mon frère et ma sœur.

Cordélia s’écarta de Yosuke afin de prévenir Orion qu’elle rentrerait tard et qu’ils ne devaient pas les attendre pour manger. Lorsqu’elle raccrocha, elle fit signe à Yosuke et partirent tous les deux.

Pendant ce temps, du côté d’Orion.

Orion : Nel !!! Cordélia ne mangera pas à la maison ce soir, elle est de sorti !!!
Eléanore : D’accord.

En entendant cela, Ukyo s’approcha d’Orion pour en savoir plus.

Ukyo : Elle t’a dit où elle passait la soirée ?
Orion : Ouais, un collègue de son boulot l’a invité pour passé un peu de temps avec elle avant qu’elle ne quitte l’entreprise.
Ukyo : Je vois… et elle t’a dit où elle allait ?
Orion : Ah, ça je l’ignore. Pourquoi ?
Ukyo : Oh, non pour rien.

Ukyo s’éloigna d’Orion en se mordant les doigts. Mais avant qu’il ne parte,  Orion le rappela.

Orion : Au fait Ukyo !
Ukyo : Oui ?
Orion : J’ai commencé mon entrainement aujourd’hui et je n’ai rien ressenti d’étrange. Je dirais même que j’ai l’impression d’avoir perdu mon temps.
Ukyo : Ne t’en fais pas. La première fois tu ne peux ressentir un changement radicale, prend le comme un conditionnement. Et puis, tout ce que l’on fait à un impact à un moment ou à un autre.
Orion : Tiens c’est la deuxième fois que l’on me sort cette phrase.
Ukyo : Et la personne qui te l’a dit avant a tout à fait raison.
Orion : Si tu l’dis.
Ukyo : Enfin, continue de faire cela et petit à petit tu te rendras compte que quelque chose aura changé. Mais je ne peux t’en dire plus, tu vas le découvrir par toi-même.
Orion : Ouais, ouais…

Orion retourna dans sa chambre pour finir ses devoirs et Eléanore prépara à manger. Après avoir préparé la table, Nel appela tout le monde pour venir manger.
Le diner se passa dans le calme. Orion et sa sœur se racontait leur journée. Seul Ukyo gardait le silence.

Eléanore : Et bien Ukyo ! Tu ne dis pas grand-chose. Quelque chose ne va pas ? Ce n’est pas bon ?
Ukyo : Oh si, c’est même délicieux le repas que tu nous a préparé. Comme tous les soirs d’ailleurs. C’est juste que quelque chose me tracasse.
Eléanore : C’est quelque chose de grave ?
Ukyo : Je dirais plutôt… personnel.
Orion : Ce ne serait pas à cause de la sortie de Cor…

Ukyo donna un coup de pied dans le genou d’Orion.

Orion : Aïe !!! Tu m’as fait mal !!!
Ukyo : Oh ! Excuse-moi, je n’ai pas fait attention. Le coup est parti tout seul.
Orion : Vas-y, prend moi pour un idiot.
Eléanore : Orion ! S’il dit qu’il ne l’a pas fait exprès c’est que c’est vrai. Laisse le tranquille.
Orion : Mouais, je vois plutôt clair dans son jeu.
Ukyo : Non, ce n’est rien Nel. Bon je vais devoir vous laisser j’ai quelques courses à faire.
Eléanore : Maintenant ? Mais, il ne se fait pas tard ?
Ukyo : Peut être, mais c’est important. Je rentrerais tôt ne vous inquiétez pas.
Eléanore : D’accord, fais bien attention à toi.
Ukyo : Je le ferais ne t’en fais pas et puis, ne suis-je pas votre protecteur ?

Ukyo parti aussitôt en voiture.

Orion : Et bien lui, il est fou amoureux.
Eléanore : Peut être mais ce n’est pas une raison d’enfoncer le couteau plus profond.
Orion : Ouais bah je voulais un peu le taquiner. C’est vrai quoi ! Qui ne tombe pas sous le charme de Cordélia ?
Eléanore : Là tu marques un point. Mais j’espère qu’elle trouvera un homme bien dans sa vie. Je le souhaite de tout cœur.

Pendant ce temps sur une terrasse du centre ville.

Yosuke : Ahahah t’es pas sérieuse ?
Cordélia : Quoi ?! Tu ne me crois pas ?
Yosuke : Disons que ce n’est pas commun de voir une femme faire ce genre de truc.
Cordélia : Normal, pour vous une femme ne peut pas se démerder toute seule mais va falloir te dire qu’il y a toujours eu des combattantes dans la vie. Prends exemple sur les amazones.
Yosuke : Elles étaient folles oui. Haïr les hommes au point de les réduire à l’état d’esclavage, et rendre les nouveaux nés aveugle ou en leur coupant le bras et les jambes afin qu’ils soient inapte à la guerre ! Non mais t’imagine l’horreur ?
Cordélia : Et bien dit toi que ce genre de femme existe réellement. D’ailleurs s’il le faut tu traines avec elle en ce moment même.
Yosuke : Tu sais que tu es une femme très intéressante ? On en voit pas beaucoup des comme toi.
Cordélia : Tu es tombé sous mon charme ?
Yosuke : Qui sait ! Devine…
Cordélia : Facile à savoir ^^
Yosuke : Montre-moi alors.

Cordélia se leva de sa chaise et pris la tête de Yosuke afin de l’amener jusqu’à ses lèvres. Mais avant qu’elles ne se touchent, elle le regarda droit dans les yeux.

Cordélia : Tu peux toujours courir.

Sans s’en apercevoir, Ukyo était seulement à quelques mètres de leur table et avait vu la scène. De là où il se trouvait, il voyait Cordélia tenant la tête d’un inconnu pour l’embrasser. Son sang ne fit qu’un tour et il courra à toute vitesse vers l’homme et l’envoya valser en arrière faisant tomber des tables et des chaises sur son passage.

Cordélia : Non mais ça va pas ?! T’es malade !!!
Ukyo : Laisse-moi lui régler son compte.

Avant qu’il ne se dirige vers Yosuke, qui se passa la main sur sa lèvre car le choque qu’il venait de se recevoir le lui avait ouverte, Cordélia l’attrapa par le bras.

Cordélia : Hé, mais qu’est ce qui te prend de le frapper comme ça ? Tu le connais même pas !
Ukyo : Peut être mais tu l’as embrassé.
Cordélia : Pardon ? De quoi tu parles ?
Ukyo : Je t’ai vu à l’instant, sa tête dans tes mains.
Yosuke : Houo houo houo, du calme, elle ne m’a pas embrassé du tout !
Ukyo : De quoi ?
Cordélia : Bah ouais, je n’l’ais pas embrasser.
Ukyo : Sérieux ?
Cordélia : Mais puisqu’on te l’dis putain. T’écoute quand on te parle ?
Ukyo : Ah… heu… merde… Désolée mec pour le coup.

Ukyo alla aider Yosuke à se relever.

Yosuke : Bah putain, t’y est pas allé de main morte.
Ukyo : Pardon, je sais pas quoi faire pour m’excuser.
Yosuke : Ouais bah on oublie juste ce qu’y vient de se passer. Même si tu m’as ouvert la lèvre.
Ukyo : Tiens prend mon mouchoir et encore désolé.
Yosuke : Ca va je te dis. C’est juste un malentendu mais un conseil, avant de frapper, la discussion est préférable pour éviter ce genre de scène.
Ukyo : J’en prends note.
Cordélia : Et bah, je m’attendais pas à ce que la soirée se termine ainsi. Tu veux passer à la maison Yosu ?
Yosuke : Non, t’inquiètes pas pour moi. Je vais rentrer et nettoyer la plaie histoire qu’elle s’infecte pas.
Cordélia : C’est toi qui vois. En tout cas désolée pour ça et passe une bonne soirée. On se revoit plus tard.
Yosuke : Ouais pas d’soucis, passe une bonne soirée.

Yosuke parti en direction de sa voiture pour rentrer chez lui. En attendant, Cordélia se retourna pour faire face à Ukyo d’un air furax.

Cordélia : Bon tu m’expliques ce qu’il vient de se passer ?
Ukyo : Heu... je préfère pas en parler.
Cordélia : Moi si, ça t’arrive souvent de frapper des gens sans raison ?
Ukyo : je te dis que je veux pas en discuter avec toi.
Cordélia : Non mais tu te fous de ma gueule en plus. T’a intérêt à me dire ce qui t’es passé par la tête sinon c’est moi qui t’en colle une.
Ukyo : Bah vas-y frappe moi, de toute façon je le mérite.

A peine avait-il fini sa phrase que le coup parti envoyant Ukyo voler en arrière à son tour.

Cordélia : C’est bon maintenant ? On peut rentrer ? De toute façon un jour ou l’autre tu me donneras des explications mais pour ce soir c’est bon, j’suis fatiguée, j’veux aller pioncer.

Sans rien dire, Ukyo et Cordélia rentrèrent tous les deux jusqu’à l’auberge. Une fois arrivée, ce fut Cordélia qui descendit la première et monta directement dans sa chambre. Ukyo marchait en retrait se tenant la mâchoire.

Eléanore : *courant vers Ukyo* Oh mon dieu ! Mais qu’est-ce-qui t’es arrivé ? Vous vous êtes battu ?
Ukyo : Heu… plus ou moins mais ça va aller ne t’en fait pas. Si ça ne te dérange pas je crois que je vais aussi aller me coucher.
Eléanore : D’accord, mais tu es sur que ça ira ?
Ukyo : Oui merci c’est gentil de t’inquiéter pour moi, mais je l’ai mérité celle là.


Et ce fut au tour d’Ukyo de monter dans sa chambre.  La nuit passa très vite pour chacun des habitants de l’auberge.

3 commentaires:

  1. Oh trop court ! Vite la suite ^o^

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  2. Je suis d'accord vite vite ^^ MM

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  3. Oui j'y travaille, j'y travaille ^^ Si tout vas bien je publierais le chapitre 17 avant la semaine prochaine !!!!

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